Question 1
La croix rouge est située dans une zone bleu foncé, l’altitude de la zone d’atterrissage d’ARES III est donc d’environ -5km.
Question 2
on remarque sur le document 2 que le détail de la carte topographique de mars ressemble énormément à une embouchure de fleuve se jetant dans un océan, comme on le voit sur le doc 3, à Brest. De plus, Le doc 1 nous montre que le nord de mars est plus bas que le sud, donc s’il y a eu de l’eau sur mars, c’est probablement au nord qu’un océan se serait formé. Ces deux indices tendent à montrer que de l’eau a coulé sur mars et que cette eau a formé un océan dans l’hémisphère nord. Il est donc logique, si on cherche des fossiles marin, de poser ARES III là où il y avait un océan sur mars.
Question 3
Le document 4 montre que les bactéries se développent plus vite à 37°C qu’à 35°C ou 39°C, or notre organisme est justement à 37°C. Notre organisme est donc à la température idéale pour le développement des bactéries.
Question 4
Sur mars, il n’y a pas de sels minéraux. Le document 6 nous montre que sans sels minéraux, les pommes de terre se développent très mal (on obtient juste 5Kg de pomme de terre en plus que ce qu’on a planté) , alors qu’avec des sels minéraux azotés, on obtient 140Kg de pommes de terre de plus que ce qu’on a planté.
Même si Mark n’a pas d’engrais azoté, il peut utiliser les bactéries rhizobiums présentent dans ses excréments qui ont la capacité de transformer l’azote atmosphérique en sels minéraux.
De cette manière, les pommes de terre auront un apport en sels minéraux azotés, et Mark pourra donc en récolter suffisamment pour survivre en attendant les secours.